Le Monde de Jenn

Mon avis (mitigé) sur l’abonnement Franklin Pet Food pour chat : une belle idée… mal exécutée

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Mon chat mange des croquettes Franklin Pet Food depuis longtemps. Il les aime, son poil est doux, sa digestion est stable, et moi, je suis plutôt tranquille de ce côté-là. Pendant des mois, je passais commande à la main, sans forcément me presser, ni trop anticiper – juste quand le paquet touchait à sa fin. Et puis un jour, j’ai voulu simplifier.

Moins de charge mentale, plus d’automatisme. J’ai activé l’abonnement. Une option qui promettait de s’adapter à mon rythme, à ses besoins à lui, avec cette idée séduisante d’un service pensé pour nous faciliter la vie.

Mais très vite, je me suis retrouvée à naviguer dans une interface un peu bancale. Les modifications qui ne s’enregistrent pas, un produit qu’on ajoute qui disparaît, ou pire : qui se duplique sans raison. La logique m’échappe, la fluidité aussi. J’ai passé plus de temps à essayer de comprendre comment ajuster mon abonnement qu’à réellement profiter de sa praticité.

Et c’est là que le bât blesse : ce système, censé me libérer d’une contrainte, m’en rajoute une.

Dans cet article, je partage mon ressenti, sans détour. Parce que même si la qualité des produits reste au rendez-vous, l’expérience client, elle, mérite franchement d’être repensée.

Pourquoi j’ai choisi de passer à l’abonnement

Ça faisait déjà un bon moment que j’achetais les croquettes Franklin Pet Food pour mon chat. On avait trouvé un équilibre : lui les dévorait avec plaisir, moi j’étais plutôt rassurée par la composition et la transparence de la marque. Rien d’exceptionnel dans notre routine, mais ça fonctionnait – et c’est souvent tout ce qu’on demande.

Et puis, petit à petit, les commandes “à la main” ont commencé à me peser. Pas parce que c’était compliqué, mais parce qu’il fallait y penser. Penser à vérifier le niveau du paquet, la quantité qu’il reste dans le distributeur, penser à anticiper les jours de livraison, penser à recommander sans trop attendre – bref, encore un petit truc à gérer dans un quotidien déjà bien rempli.

Alors je suis passé à l’abonnement. L’idée de ne plus y penser justement, de recevoir ce qu’il faut, quand il faut, sans avoir à lever le petit doigt (ou presque)… ça m’a paru logique, presque confortable. Un souci de moins, une logistique en moins à caler dans ma tête – et on sait à quel point la charge mentale adore s’infiltrer dans les détails.

J’imaginais quelque chose de fluide, de souple, qu’on ajuste au fil du temps, selon les besoins de mon chat (et les aléas de notre vie). Un système un peu intelligent, qui m’accompagne sans m’enfermer.

Je n’avais pas anticipé que ce serait justement cette promesse-là, celle de la simplicité, qui finirait par me décevoir.

Ce que j’attendais de ce service

Dans mon esprit, l’abonnement Franklin devait fonctionner un peu comme une bonne horloge : discret, précis, fiable. Je comptais sur lui pour s’adapter à notre rythme de vie, à mon organisation parfois bancale, aux changements de saison (plus de pâtés fraiches en été, plus de croquettes en hiver…), aux week-ends prolongés… bref, à la vie.

J’aimais cette idée d’un service pensé pour les vrais gens – ceux qui n’ont pas toujours le temps de s’asseoir devant leur ordi pour refaire un panier, qui oublient, qui jonglent, qui improvisent parfois. L’abonnement, je l’avais imaginé comme un compagnon invisible, qui me libérerait d’un énième “truc à penser”.

Et surtout, je pensais qu’il serait modulable. Que je pourrais facilement avancer ou retarder une livraison, ajouter un paquet, en retirer un autre, tester une nouvelle recette pour varier un peu… sans devoir tout réinitialiser ou avoir peur de faire une fausse manip. 

Mais très vite, j’ai compris que la promesse d’adaptabilité restait surtout… une promesse.

Mon chat, fin gourmet, découvre les nouvelles saveurs de croquette Franklin Pet Food

Ce que j’ai découvert en réalité

J’aurais aimé pouvoir dire que tout s’est mis en place naturellement, que les réglages se font en deux clics et qu’on n’en parle plus. Mais dès les premières modifications, quelque chose m’a semblé… bancal. Comme un outil pas tout à fait fini, ou pensé sans se mettre à la place de ceux qui allaient vraiment s’en servir.

L’interface n’est pas difficile en soi, mais elle manque d’évidence. Ce n’est pas instinctif, on tâtonne, on clique un peu à l’aveugle, on croit avoir validé un changement… et puis non. Rien ne bouge. Ou alors, tout se décale, sans qu’on comprenne bien pourquoi.

Quand j’ai voulu ajuster la fréquence des envois, ça n’a pas fonctionné. Modifier un produit ? Il disparaît du panier. Le rajouter ? Il se retrouve deux fois. À chaque tentative, j’ai eu l’impression de déclencher un bug que je ne comprenais pas. Un peu comme si chaque modification en appelait une autre, imprévisible, et qu’il fallait jouer à la devinette pour retrouver l’équilibre.

J’ai même douté de moi. Est-ce que j’avais bien cliqué au bon endroit ? Est-ce que j’avais oublié de sauvegarder ? J’ai recommencé, plusieurs fois, en me disant que ça finirait par passer. Mais non. Ce n’est pas moi : c’est juste que ça ne marche pas très bien.

Et comme souvent avec ce genre de choses, ce n’est pas dramatique – mais c’est usant. À force, on redoute d’y retourner. On repousse la prochaine modification, on laisse le système envoyer ce qu’il veut, même si ce n’est pas tout à fait ce qu’on aurait choisi. On fait avec. Parce qu’on n’a pas envie de se battre pour un sac de croquettes.

Mais c’est là, justement, que la déception se glisse. Parce que l’abonnement, à la base, c’était censé m’éviter ce genre de prise de tête.

Ce que ça provoque chez moi (en tant que cliente)

Ce qui commence par un simple « petit détail » technique finit par peser plus lourd qu’on ne l’imagine. Cette sensation d’avoir à gérer un outil qui ne suit pas, qui résiste à la simplicité que j’attendais, ça finit par fatiguer.

Au fil des essais ratés, de ces allers-retours dans le système, j’ai senti une pointe de frustration grandir. Pas la frustration explosive, non, plutôt une lassitude sourde, un agacement qui s’installe doucement mais sûrement. Comme un caillou dans la chaussure qu’on essaie d’ignorer mais qui finit par faire boiter.

À chaque modification, au lieu de me sentir soulagée, j’étais tendue, sur la défensive, prête à anticiper les erreurs, à vérifier deux fois, à revenir en arrière. Et ce temps perdu, ces efforts supplémentaires, c’est un peu l’antithèse de ce que je voulais.

Mais, paradoxalement, je reste attachée à cette idée d’abonnement – parce qu’en théorie, c’est une idée moderne, pratique, pensée pour accompagner, pour faciliter. Et c’est frustrant de voir qu’elle ne soit pas tenue à la hauteur.

Alors, j’en fais quoi maintenant ?

À ce stade, je pourrais presque dire que je navigue à vue. Je continue cet abonnement parce qu’au fond, malgré les couacs, je sais que la qualité des croquettes reste bonne – et mon chat, lui, ne s’en plaint pas. Il adore, il en raffole, il est vraiment et il prend du plaisir à manger les produits de cette marque.

Mais je ne peux pas nier que j’y vais un peu à reculons. Je surveille, je vérifie, j’essaie d’anticiper pour éviter de me retrouver avec deux paquets identiques ou, pire, sans rien du tout. Ou trois fois de suite les mêmes. L’idée aussi est que mon chat se fasse plaisir en mangeant, en variant, gouts et textures.

Ce n’est pas vraiment ce que j’avais imaginé, mais c’est la réalité du moment.

Je rêve donc, dans mon coin, que l’interface s’améliore, qu’on puisse vraiment gérer cet abonnement sans se prendre la tête, que chaque changement fonctionne et se mette à jour. En attendant, je garde un œil ouvert sur mes commandes, prête à ajuster, à changer (voire à quitter le navire si la balance penche trop du mauvais côté).

Parce qu’au final, cet abonnement, c’est censé être une aide – pas un poids.

Pour conclure

Au fond, cet abonnement Franklin Pet Food, c’est un peu comme une promesse à double tranchant.

D’un côté, la qualité des croquettes, le confort de la livraison régulière, la simplicité théorique d’un service pensé pour faciliter la vie.

De l’autre, la réalité parfois frustrante d’une interface laborieuse, qui manque de fluidité et de fiabilité.

Je ne rejette pas l’idée de l’abonnement, bien au contraire. C’est un concept qui a du sens, surtout quand on mène une vie chargée et qu’on cherche à alléger la charge mentale. Mais il faut que ce soit vraiment simple, clair, et surtout fonctionnel – parce que sinon, le gain escompté se transforme vite en tracas.

Pour l’instant, je garde cet abonnement, à la fois parce que mon chat l’apprécie, et parce que je crois encore qu’il peut s’améliorer. Mais je reste vigilante, consciente que la simplicité promise est loin d’être parfaite.

Et peut-être, au-delà de cette expérience, c’est un peu un appel à plus d’attention dans la conception de ces services “modernes” : que la simplicité ne soit pas qu’un mot, mais une vraie réalité vécue – celle qui soulage vraiment, sans créer d’autres petites contraintes invisibles.

Et vous, alors ?
Vous êtes abonné à Franklin Pet Food ? Vous avez testé le concept, l’interface, les livraisons ? Racontez-moi un peu comment ça se passe de votre côté, ce que vous aimez… ou ce qui coince. Parce qu’au fond, on est toujours un peu plus rassurée quand on sait qu’on n’est pas tout seule à vivre ces petites galères, ou au contraire quand on découvre que ça marche bien ailleurs.

Photographies : Le Monde de Jenn .

Gifting :  je paie moi-même mon abonnement Franklin. Les photos présentées dans l’article sont issues d’anciennes collaborations avec la marque, d’où la mention en bas à droite. Mais ce sont d’anciennes photos. 

Liens : affilié.

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Tous les produits (ou presque) que je présente sont répertoriés ici : plus facile de s’y retrouver. Toutes les informations de base, le prix, mon avis…

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